Bulletin #190
SUBJECT: Research at
From: Loulasavage@aol.com
Date:
Subject: Mesage from the Committee
of Support for the Return of CEIMSA to
To:
Bonjour
Mesdames,
Je me
permets de vous écrire au nom du comité de soutien pour le rétablissement des
activités du CEIMSA et de ses fonds documentaires sur le serveur public de
l'université Stendhal.
Comme
vous devez en avoir entendu parler, un groupe d'étudiants auquel se sont joints
de nombreux chercheurs, professeurs et institutions, a créé un comité pour
rétablir le CEIMSA à Stendhal.
En
effet, la fermeture du CEIMSA pose de graves problèmes aux étudiants
spécialisés en civilisation américaine, notamment des problèmes d'inscriptions
et d'accès public aux archives pourtant si utiles aux doctorants.
Nous
avons pu étudier tout le "dossier" CEIMSA et certains points nous
choquent profondément:
1/ La fermeture précipitée du CEIMSA qui était
pourtant encouragé par le ministère à établir un réseau et était félicité des
thèmes abordés dans son centre.
2/ La
totale indifférence que l'université a porté aux étudiants suite à cette
fermeture en ne trouvant aucune solution pour leurs inscriptions et en retirant
le site internet du serveur public.
3/ La
diabolisation de M. Feeley qui a été faite par de nombreuses personnes aux
étudiants qui étaient intéressés par la civilisation américaine. On a notamment
pu entendre que:
-- Le
domaine américaniste n'avait aucun avenir
--
Qu'accepter M. Feeley comme directeur nous vouait à l'echec et nous apportait
peu de promesses pour notre futur
-- Que
M. Feeley était le seul responsable de la fermeture de son centre.
Nous
avons aussi eu un entretien avec M. Chézaud pendant lequel nous avons encore
une fois pu assister à la "salissure" de M. Feeley. L'entretien n'a
mené à rien car les propos tenu par ce dernier sont soit très négatifs à
l'égard de M. Feeley, soit même en dehors de la vérité.
Je vous
en donne quelques exemples:
M.
Chézaud dit que M. Feeley n'a rien fait pour s'integer à un autre centre de
recherche:
Notre
réponse
Faux: Le
centre de M. Lafon l'a refusé.
M. Chézaud
dit que M. Feeley a refusé la proposition de M. Bernard Floris pour s'intégrer
à Ced et Pic
Notre
réponse:
Faux:
J'ai contacté personnellement ce dernier qui a dit qu'il n'avait jamais fait
une telle proposition il a avoué avoir émi cette hypothèse mais n'en avait en
aucun cas parler à ses collègues. De plus le Ced et Pic est
un centre francophone, le CEIMSA lui est un centre bilingue.
M.
Chézaud dit que M. Feeley ne pourrait pas réouvrir son centre avec les mêmes
thèmes car le Ministère les a désapprouvés.
Notre
réponse
Faux: Le
ministère a mis en cause la petite taille du centre et non ses activités.
M.
Chézaud admet qu'il n'y a eu aucune évaluation scientifique autre que celle du
ministère mis à part l'évaluation de ses pairs qui ne sont pas américanistes.
Notre
question:
Pourquoi
alors n'a t-on pas tenu compte de l'évaluation du ministère qui disait que les
thèmes étaient bon mais qu'il conviendrait de construire un réseau?
M.
Chézaud dit que ce n'est ni sa faute, ni celle de M. Lafon si le centre a fermé
mais celle du Conseil Scientifique qui en aurait décidé ainsi.
Notre
question:
N'est-ce
pas le CA qui décide? Le CS n'est-il pas uniquement sensé faire des
propositions? Il est vrai que dans tous les documents que nous avons consulté
nous n'avons jamais vu trace du CA dans cette histoire, n'est-ce pas contraire
aux réglements de l'université?
M.
Chézaud dit qu'il serait illégal de garder le site internet du CEIMSA sur le
serveur public.
Notre
réponse:
L'article
2 des statuts de l'université stipule:
L'université
a pour mission la diffusion de la culture et l'information scientifique et
technique.
Comme
vous pouvez le constater nous ne trouvons pas de solution à notre problème,
nous avons pourtant essayé de notre mieux mais les propos tenus par M. Chézaud
et M. Lafon même si contestables ne font jamais l'objet d'aucune critique
émanant du CS et du CA.
Les
seules personnes qui ont essayer de nous défendre
l'ont fait en vain car ils se heurtent au même discours que celui que nous
avons reçu de M. Chézaud. Or, beaucoup de personnes qui ne connaissent pas
aussi bien le dossier que nous n'osent répondre à tous ces arguments. Pourtant,
notre problème reste le même, nous ne pouvons pas nous inscrire à Stendhal, les
archives ne sont toujours pas accessible sur Internet et CEIMSA est loin d'être
réouvert.
Si je
vous écris aujourd'hui c'est pour vous demander si vous voulez bien nous
apporter votre aide ou vos conseils. Nous souhaitons en effet, regler ce
problème au plus vite et rétablir la justice pour les étudiants doctorants en
civilisation américaine.
Nous
pensons que vous pourriez être à même de nous apporter vos avis concernant ce
qui pourrait être fait pas le comité de soutien pour commencer une action
efficace qui nous permettrait de nous faire entendre. Je serais très heureuse
si vous nous accordiez un peu de votre temps pour nous apporter votre soutien.
Cordialement,
Julia Hebert Perceval
CEMRA-CHEZAUD MEETING IN APRIL 2005
A.
Cher(e)s Collègues,
Si nous tenons à
vous adresser le compte rendu de l’entretien que Patrick Chézaud nous a
accordé récemment, c’est parce que nous estimons que les sujets qui
étaient au cœur de nos discussions avec le directeur du CEMRA
(principalement la gestion financière et l’avenir de notre centre de
recherches) vous concernent, en tant que membres du CEMRA, tout aussi bien que
nous-mêmes.
Il faut savoir que notre demande d’entretien a été motivée par une
information que nous avions reçue il y a quelque temps. Il s’agissait, en
fait, d’une lettre accompagnée d’un bon de commande de trois cents
(300) exemplaires d’un livre à paraître et dont l’auteur
n’est autre que le Directeur du CEMRA, Patrick Chézaud. Nous avons attendu la confirmation de la part
de l'Agent comptable de l’authenticité de la facture en question avant de
demander un entretien avec le Directeur.
L'entretien demandé a eu lieu le vendredi 15 avril 2005 entre Patrick
Chézaud et deux des signataires de la lettre demandant un bilan du CEMRA.
Le document que vous trouverez ci-attaché est un compte rendu fidèle* de
cette réunion.
Avec nos salutations les plus cordiales,
Vicki Briault-Manus
Sheila Collingwood-Whittick
Mohamed Benrabah
* Comme Patrick Chézaud nous a affirmé qu’il était « sûr qu'on
allait déformer ses propos », nous tenons à certifier sur l'honneur que ce
rapport est aussi exact que possible, basé sur des notes prises tout au long de
l'entretien. Nous nous sommes efforcées
de respecter une certaine déontologie, de notre côté, dans cette affaire
délicate et grave qui concerne l'aspect "recherche" de tous les
enseignants-chercheurs membres du CEMRA, c'est pourquoi nous avons préféré faire les démarches
ouvertement sur la messagerie du CEMRA.
Nous déplorons la tendance trop fréquente dans notre UFR à prendre des
décisions de couloir, de calomnier les collègues absents. Nous réclamons plus de transparence, plus de
concertation, plus de démocratie, et plus de respect et de loyauté entre
collègues. Ce sont les conditions
nécessaires au bon fonctionnement des instances, que ce soit l'UFR, le Centre
de recherche ou l'Université.
Nécessaires aussi pour favoriser l'épanouissement et la productivité
professionnels, et ramener une ambiance conviviale et stimulante dans notre
lieu de travail.
B.
Compte
rendu de l’entretien accordé par Patrick Chézaud, directeur du CEMRA, à
Vicki Briault-Manus et Sheila Collingwood-Whittick, le 15 avril 2005.
Le directeur du
CEMRA a commencé par nous informer que le bon de commande dont il était
question n’avait rien d’illégal, que c’était son droit le
plus absolu et que c’était « une démarche d’aide à la
publication d’œuvres de chercheurs », une «pratique courante»,
employée aussi par le Centre d'Etudes Ecossaises en son temps.
A notre
observation que ce genre de pratique ressemblait fort à ce qu’on entend
en anglais par le terme « vanity publishing », Patrick Chézaud nous a
répondu qu’un tel malentendu de notre part s’expliquait sans doute
par notre ignorance et notre naïveté. Notre ignorance, nous a-t-il souligné,
était clairement à l’origine de la lettre « diffamatoire » où
nous lui avons demandé le bilan financier du CEMRA, car il n’y a aucun
texte officielle rendant une telle pratique obligatoire. Quand nous lui avons
rappelé que cette pratique est néanmoins courante dans la plupart des Centres
de recherche, sa seule réponse a été : « C’est vous qui le
dites ».
Il nous a ensuite
annoncé que nous allions recevoir «une leçon de pédagogie» (sic) de la part de «son» Agent comptable, M. Daniel Loy. Nous n'en étions que trop contentes que M.
Loy nous fasse un petit cours sur le fonctionnement des finances, bien
conscientes de ne pas trop comprendre ces rouages.
M. Loy nous a
expliqué que lorsqu'un Directeur de Recherche veut autoriser une dépense prise
sur son budget de recherche, il doit passer par l'Agent comptable qui, après
avoir vérifié les comptes, doit à son tour soumettre la demande à
l'ordonnateur, seul arbitre de l'opportunité de la dépense. Juger de l'opportunité d'une dépense ne relève
pas des fonctions de l'Agent comptable, qui ne s'occupe que du côté proprement «comptable» de cette gestion
financière. Or, l'ordonnateur étant le Président de l'Université, cela veut
dire que dans le cas des dépenses du CEMRA, Patrick Chézaud est à la fois juge
et partie. Nous nous interrogeons de
l'opportunité déontologique de cette co-incidence de casquettes. Ne serait-ce pas une raison de plus pour plus
de clarté et de concertation dans la gestion financière du CEMRA ? Patrick Chézaud nous explique de façon très
ferme qu'en tant que Directeur du Centre, qui a obtenu la dotation auprès du
Ministère par le gros travail personnel que représente la constitution du dossier,
(nous acquiesçons, pour le gros travail) il fait comme il veut, et nul ne peut
l'obliger à plus de transparence. M. Loy
confirme ces faits.
L'Agent comptable
nous explique aussi qu'avant de pouvoir répondre à des demandes comme la nôtre,
concernant les dépenses, il est tenu à s'en référer à l'ordonnateur. C'est la raison, nous dit-il, pourquoi il
n'avait pas répondu à la demande de bilan complet que nous lui avions par trois
fois adressée.
Mais on nous a dit
(voir le « Message de Pierre Morère » du 24 février dernier) que les
comptes étaient publics, persistons-nous. Oui et non, explique M. Loy. Il est vrai que les comptes sont vérifiés
périodiquement par la Cour régionale des comptes ; mais il n'est pas de leur ressort de juger de
l'opportunité de dépenses, surtout
pour une somme si relativement petite (2230 euros). Cependant ils ne sont pas publics dans le
sens que nous le croyions, c'est à dire, le public n'y a aucun droit de regard.
Donc, finalement,
nous avons nos réponses :
1)
En tant
que Directeur du Centre de recherches, Patrick Chézaud est tout à fait dans son
droit de refuser de divulguer les informations budgétaires et de refuser de
consulter les membres sur les décisions à prendre dans ce domaine.
2)
En tant
que Président de l'Université, Patrick Chézaud est l'ordonnateur des dépenses,
et dans cette capacité, seul juge de l'opportunité des dépenses.
3)
Ce que
nous avions pris pour une publication « à compte d'auteur » financée
secrètement par le CEMRA relève, en fait, d'une « aide financière à la
publication », pratique courante, paraît-il. Selon cette logique, tout membre du CEMRA
pourrait, donc, demander une telle aide pour convaincre un éditeur de financer
une publication, sans considération de sa qualité ni de sa pertinence.
4)
En tant
que Directeur du CEMRA Patrick Chézaud jouit d'un pouvoir absolu : aucun texte
officiel ne l'oblige à adopter des pratiques de transparence et de
démocratie.
En dehors de la
question principale de la commande des livres, les éléments suivants, relevés
au cours de l'entretien, nous interpellent tous (du moins nous le croyons) en
tant que membres du CEMRA:
1.
Débordé
par ses responsabilités en tant que Président de l'Université (bien
compréhensible), Patrick Chézaud reconnaît ne plus porter beaucoup d'intérêt au
CEMRA (il « s'en fiche », pour le citer très exactement); il n'a plus
besoin du prestige qu'il représente pour lui.
Pourtant il ne tient pas à passer la main à un autre directeur,
ni même à en déléguer une partie de la gestion par le biais d'un comité.
2.
Même
si le nombre de membres a doublé, la productivité stagne.Une majorité des
membres du CEMRA n’est pas suffisamment productive.
3.
De ce
fait, la notation accordée au CEMRA par le Ministère (A -) sera très
probablement diminuée au prochain plan quadriennal, ce qui entraînera une forte
diminution de la dotation financière. Même
si on obtient B+, le mieux qu'on puisse espérer, la somme sera réduite de
moitié.
4.
Avec
les 200 000 francs de reliquat du Centre d'Etudes Ecossaises, et la dotation
ministérielle de 250 000 francs par an pendant les quatre ans de la
quadriennale (chiffres donnés par Patrick Chézaud dans l'entretien rapporté
ci-dessous), cela fait 1 200 000 francs au total, dont il reste 500 000 francs
(selon Patrick Chézaud, toujours, qui donne les chiffres en francs).
5.
Jusqu'à
présent, les centres de recherches gardaient leur reliquat de fonds inutilisés
(contrairement aux pratiques pour d'autres budgets universitaires). Toutefois,
en tant que président et ordonnateur de l'Université, Patrick Chézaud a la
possibilité de cesser cette pratique. Il
y réfléchit en ce moment car il considère que l'Université aurait bien besoin
de l' argent non dépensé par les groupes de
recherches.
6.
Pour
l'instant, c'est Agnès Véré qui prend les décisions concernant quelles
propositions de colloque seront retenues et quand les colloques ayant reçu le
feu vert auront lieu. Il n'y a pas de
comité scientifique, il ne projète pas d'en créer un, et lui-même est beaucoup
trop pris pour s'en occuper.
7.
Agnès
elle-même est surchargée de travail ; toutefois il n'est pas question d'alléger
son fardeau en nommant un trésorier, car le logiciel Nabuco qu'elle utilise est
bien trop complexe pour qu'une autre
personne puisse s'en servir.
8.
Patrick
Chézaud répond à notre évocation d’un certain nombre de déclarations
faites et de décisions prises (concernant, entre autres, la programmation de
colloques, la publication des actes de colloques, la création d’une revue
écrite etc.) à l’assemblée générale de juin 2004, en nous disant
qu’il n’en avait aucun souvenir. Nous constatons et déplorons que,
depuis 2001, il n’y a jamais eu un seul compte
rendu des assemblées générales du CEMRA.
C.
M. Mohamed
Benrabah
Mme Vicki
Briault-Manus
Mme Sheila Collingwood-Whittick
(membres du CEMRA)
à
Mesdames et Messieurs les membres
élus du Conseil
d'Administration
Saint-Martin d'Hères, le 27 avril 2005
Objet: Gestion du CEMRA et questions de
déontologie
Chèr(e) collègue,
Nous nous adressons à
vous, membres élus du CA, pour vous faire part de nos préoccupations concernant
des pratiques au sein du Centre d'Etudes sur les Modes de la Représentation
Anglophone (CEMRA).
Une des questions que
nous souhaitons vous poser est la suivante: Est-il acceptable qu'un centre de
recherche ne présente jamais le moindre bilan financier à ses membres? Aussi surprenant
que cela puisse paraître, c'est pourtant bien le cas au CEMRA dirigé par M.
Patrick Chézaud. Le bilan annuel étant une pratique courante dans la plupart,
sinon la majorité, des centres de recherche, certains membres du CEMRA gênés,
voire intrigués, par cette absence de bilan l'ont régulièrement demandé et, ce,
depuis la naissance du centre. Après quatre années d'existence du CEMRA et face
à une telle anomalie, trois membres dudit centre ont demandé par écrit le
21/02/2005 la présentation d'un bilan à son directeur (voir document I).
Dans sa réponse, Patrick
Chézaud déclare ne pas «comprendre» la demande et ne s'engage pas véritablement
à la satisfaire (voir document II). Il réitère les mêmes arguments présentés
les années précédentes, à savoir: «un tel
bilan vous sera communiqué en temps utile, probablement vers la fin de cette
année universitaire lors d'une séance d'organisation comme nous en avons chaque
année». Ce type de réunion a effectivement lieu mais jamais de bilan
financier n'a été présenté à ces occasions comme maintes fois promis. Immédiatement après ce message, le Directeur du CEMRA
donne son accord à la diffusion d'un courriel diffamatoire, voire xénophobe, à
l'égard des auteurs de la demande de bilan et signée par son ex- bras droit à la
retraite depuis un an (voir document III). Refusant la provocation, nous avons
cependant jugé utile de répondre en insistant sur le procédé développé par
l'auteur dudit message (voir document IV). Alors une question s'impose: mis à
part le caractère inacceptable des propos du document III qui ne peuvent être
passés sous silence, que signifie la violence d'une réponse à une simple
demande de bilan ayant l'aval du directeur/président Patrick Chézaud?
En fait, on demande aux
trois auteurs de la lettre de se taire et de laisser faire, au nom de «
l'exception culturelle» qui semble avoir bon dos. A notre connaissance, une
saine gestion des deniers publics n'a pas de couleurs «nationales » et la
récente affaire Hervé Gaymard, pour ne citer que celle-ci, en est la preuve. Toute
absence d'une telle gestion peut mener à des dérives capables de porter
atteinte au crédit de la recherche (dont les budgets ne cessent de baisser) et
de notre université. Parmi ces dérives, nous évoquerons ici une information que
nous avions reçue et qui, au départ:, a justifié notre
demande écrite de bilan. Cette information est, en fait, une lettre accompagnée
d'un bon de commande de trois cents (300) exemplaires d'un livre à paraître et
dont l'auteur n'est autre que le Directeur du CEMAA:, Patrick Chézaud (voir les
documents V et VI).
Lors d'une réunion
d'explication ayant en lieu le 15 avril 2005 entre Patrick Chézaud et deux des
trois signataires de la lettre demandant un bilan financier, Patrick Chézaud a
affirmé que cela n'avait rien d'illégal, que c'était son droit le plus absolu
et que c'était «une démarche d'aide à la publication d'oeuvres de chercheurs». La
prise d'une telle décision, jamais discutée au sein du CEMRA, ni n'ayant fait
l'objet d'une quelconque consultation des chercheurs membres du centre, relève,
nous semble-t-il, de l'arbitraire du prince. Car, en tant qu'auteur de cet
ouvrage, Patrick Chézaud est à la fois juge et partie dans cette affaire de
publication à «compte d'auteur» avec le budget du centre de recherche chez un
éditeur qu'il décrit volontiers comme son « ami». Autre question subsidiaire
comment se fait-il que l'on ne fasse pas bénéficier le budget du CEMRA et celui
de l'université des 5% de remise, le minimum que les éditeurs accordent
habituellement à d'importantes commandes d'ouvrages? Aucune remise n'apparaît
en effet sur le bon de commande d'un montant de 2230.85 euros.
Si une telle pratique
n'est peut-être pas illégale, elle pose néanmoins un sérieux problème de
déontologie de la recherche et de l'administration universitaire. L'argument
selon lequel il s'agirait d'une démarche d'aide à la publication d'oeuvres de
chercheurs est pour le moins contestable. Le budget d'un groupe de recherche
doit-il servir à la diffusion des publications? Et à supposer l'affirmative,
qui décide de qui doit être «aidé» ou pas? Cela d'autant plus que la même
personne est à la fois le demandeur et l'ordonnateur.
Pour notre part, nous
n'approuvons pas de telles pratiques estimant qu'elles remettent en cause,
entre autres, la valeur scientifique des travaux publiés. Nous pensons que ces
faits méritent discussion au sein du groupe de recherche concerné ainsi que les
instances dirigeantes de l'université (CA et CS). Ou bien, une telle pratique
est inacceptable et il faut la désapprouver. Ou bien elle est acceptable, mais
dans ce cas la moindre des choses serait que des règles claires soient établies
et que la décision se fasse avec la consultation des chercheurs concernés dans
un centre doté de structures adéquates (trésorier, comité, réunion annuelle sur
le bilan financier, etc.). Enfin, nous dirons pour terminer que le propre de la
déontologie est avant tout d'être responsable. Ne pas s'en soucier à ce niveau
de responsabilité est une grave erreur qui peut nous coûter tous très cher.
Nous restons, chèr(e)
collègue, à votre entière disposition pour toute autre information.
Cordialement
DOCUMENT
I
De : WhittickS@aol.com
A: Patrick.Chezaud@u-grenoble3.fr
Cc :varet_eric@yahoo.fr,Jerome.puckica@@u-grenoble3.fr,Stolazzi@dial.oleane.com, Angeline.Durand@u-grenoble3.fr,Bertrand.Koszial@wanadoo.fr,WhittickP@aol.com,Susan.Blattes@u- grenoble3.fr,Susan.Blattes@wnadoo.fr,DenisBoncasse@@u-grenoble3.fr,Frederick.Dumas@u-
grenoble3.fr,Helen.Palma@u-grenoble3.fr,Linda.Carter@u-grenoble3.fr,Vicki.Briault@u-
grenoble3.fr,Christine.Vandamme@u-grenoble3.fr,Eriv.Tabuteau@u-
grenoble3.fr,James.Undrehill@u-grenoble3.fr,Mohamed.Benrabah@u-
grenoble3.fr,n.Bebrabah@u-grenoble3.fr,Marion.Amblard@wanadoo.fr,Bertrand.Koszul@u-grenoble3.fr,Donna.Andreolle@u-grenoble3.fr,
madhu.benoit@u-grenoble3.fr,susab.berthier@wanadoo.fr,PChezaud@aol.com,Helene.Greven@free.fr,ShIssani@aol.com,Shaeda.Usai@u-grenoble3.fr,veronique.molinari@libertysurf,fr,
pierrr.rnoreir®wamadoo.fr, Emily.Corvisy@u-grenoble3.fr,Marie-Pierre.Jounnaud@u-grenoble3.fr,Catherine.Kamowski@u-grenoble3.fr,Jean-Pierre.Simard@u-grenoble3.fr,Frederic.Dumas@wanadoo.fr,Monique.Caravel@u-grenoble3.fr
Cco:
Date: 21/02/2005 09:19
Objets: Bilan Financier du CEMRA
------------------------------------------------
Cher Patrick,
Lors de la réunion générale du CEMRA du mois de
juin dernier, tu as évoqué la possibilité d'un
remboursement forfaitaire de 150 Euros pour chaque membre du CEMRA qui fait une
communication lors d’un colloque sur le territoire français. A
la réflexion, il nous semble que celle somme est non seulement très
insuffisante mais qu'elle risque d'être dissuasive, car le coût réel d'une
telle mission pour l'enseignant(e) est au moins le double sinon le triple du
forfait que tu proposes.
Nous voulions soulever cette question à l'occasion
de la présentation du bilan financier du CEMRA que tu avais promise pour la
rentrée 2004. Malheureusement, cela tait plusieurs mois que nous attendons et
le bilan financier n'a toujours pas été présenté. Nous te rappelons par
ailleurs que, malgré des demandes répétées sur une période de plusieurs années,
nous n'avons jusqu'à présent reçu, en tant que membres du CEMRA, aucune
information sur la gestion financière de notre centre de recherches.
Nous estimons que, presque quatre ans après la
création du CEMRA, il serait temps que de telles informations soient
communiquées à ses membres. Nous t'écrivons pour te demander de bien vouloir
fixer une date, en dehors des séminaires mensuels, où 1) nous pourrons discuter
du budget actuel du CEMRA et 2) tu nous présenteras un bilan financier pour les
quatre dernières années. Nous sommes conscientes du fait que tu as un emploi du
temps très chargé mais espérons néanmoins que cette réunion aura lieu le plus
rapidement possible.
Cordialement,
Sheila
Collingwood-Whittick
Vickers
Briault-Manus
Mohamed
Benrabah
DOCUMENT II
De: Agnès Vere
A: Eric Varet, Jerome Puckica, TOLAZZI Sandrine,
Angeline Durand, Bertrand Koszul, Sheila Whittick, Blattes Susan, Susan
Blattes, Bonnecase Denis, Dumas Frédéric, Palma Hélêne, Carter Linda, Briault
Vicki, Vandamme Christine , Tabuteau Eric, Underhill James, Benrabah Mohamed, Benrabah Nadia, Amblard Marion, KOSZUL Bertrand
, Donna Andreolle, Madhu Benoit, Susanne Berthier, Chézaud Patrick, Greven
Hélêne , Shaeda Isani – AOL, Shaeda Isani Véronique Molinari, Pierre MORERE,
Emily Corvisy, Marie-Pierre Jouannaud,
Catherine Kamowski, Jean-Pierre Simard, Dumas Frederic, CARAVEL Monique,
FIORETTI Evelyne, NICOLOFF Franek, Besson Cyril, GRISON Lorraine, AnneMarie
TATHAM ,jean-pierre simard, DELMAS Catherine, Hélêne Palma, Kleiman Lafon
Sylvie, Malliga Saadi
Date
24/02/2005 20:58
Objets: Bilan financier du CEMRA
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MESSAGE DE PATRICK CHEZAUD
Chers
Collègues,
En réponse à votre demande de présentation du
bilan financier du CEMRA., je ne puis que vous répondre, comme précédemment
indiqué, qu'un tel bilan vous sera communiqué en temps utile, probablement vers
la fin de cette année universitaire lors d'une séance d'organisation comme nous
en avons chaque année.
Le sens de votre demande m'échappe un peu dans la
mesure où toutes les demandes de financement ont toujours été satisfaites au
sein du centre sans jamais demander ni compte-rendu de mission, ni encore moins
de résultat en termes de production de connaissances. Je vous rappelle que dans
l'optique du renouvellement de notre agrément ministériel et de la reconduction
de notre subvention, nous devrons faire état de l'utilisation des fonds publics
qui nous sont alloués précisément en termes de production, notamment sous forme
de publications.
Je vous propose donc lors de la séance de bilan de
juin prochain d'assortir la présentation du bilan financier de celle du bilan des
productions. Cela facilitera grandement le travail d'Agnès qui va être très
sollicitée pour le renouvellement du contrat quadriennal, lequel doit être
présenté dès fin 2005. J'ajoute que si notre situation financière a été
confortable pour ce premier quadriennal, grâce à une évaluation favorable et
aux reliquats d'Etudes Ecossaises et du PPF, il pourrait en être autrement à
l'avenir si nous ne sommes pas capables d'aligner suffisamment de productions
et de manifestations tant sur le plan quantitatif que qualitatif.
Pour ce qui concerne les missions, je vous
rappelle que la somme retenue l'a été afin de favoriser un nombre maximal
d'engagements pour tous les membres du centre. Ce montant a d'ailleurs été
régulièrement dépassé selon les besoins des intervenants. Agnès tient la
comptabilité parfaitement à jour, elle possède les états de dépenses pour
chaque membre du centre. Elle pourra, à la demande de chacun les lui produire,
afin de démontrer que le soutien du centre aux activités de recherche de chaque
membre est sans commune mesure avec la somme de base annoncée dans votre mail.
Bien cordialement,
P. Chézaud
DOCUMENT
III
De : Agnès Véré
A: Eric Varet, Jerome Puckica,
TOLAZZI Sandrine, Angeline Durand, Bertrand Koszul, Sheila Whittick, Blattes Susan,
Susan Blattes, Bonnecase Denis, Dumas Frédéric, Palma Hélêne, Carter Linda,
Briault Vicki, Vandamme Christine , Tabuteau Eric, Underhill James, Benrabah
Mohamed, Benrabah Nadia, Amblard Marion,
KOSZUL Bertrand , Donna Andreolle, Madhu Benoit, Susanne Berthier, Chézaud
Patrick, Greven Hélêne , Shaeda Isani – AOL, Shaeda Isani Véronique
Molinari, Pierre MORERE, Emily Corvisy,
Marie-Pierre Jouannaud, Catherine Kamowski, Jean-Pierre Simard, Dumas
Frederic, CARAVEL Monique, FIORETTI Evelyne, NICOLOFF Franek, Besson Cyril,
GRISON Lorraine, AnneMarie TATHAM ,jean-pierre simard, DELMAS Catherine, Hélêne
Palma, Kleiman Lafon Sylvie, Malliga Saadi
Date : 25/02/(2005
19:34
Objets: Message de Pierre Morère
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Honni soit qui mal y pense
Le texte de Patrick Chézaud en réponse à la lettre
des trois collègues concernant le fonctionnement du CEMRA vient heureusement,
avec honnêteté, sérénité et compétence, apporter les précisions qui
s'imposaient. Je tiens cependant à apporter aussi mon point de vue sur la
" motion " Whittick/BriaultManus/Benrabah qui m'a profondément
choqué par son ton doucereux, prêchi-prêcha, donneur de leçons et tout pétri de
bonne conscience. Je ne doute pas que ses auteurs, esprits ouverts et imprégnés
de valeurs démocratiques , accorderont le droit à un
retraité de l'enseignement, mais non pas de la recherche, de répondre à leur
texte adressé à l'ensemble des membres du CEMRA.
En ce qui concerne la gestion des finances, les
trois signataires ne doivent pas ignorer que celle-ci est soumise aux règles
rigoureuses de la comptabilité publique, et qu'à ce titre elle est... publique.
Ils apprendront peut-être aussi que celle comptabilité publique fait
régulièrement l'objet d'un contrôle de la Cour des Comptes Régionale et que
toutes les dépenses doivent être alors justifiées. Il va donc de soi qu'une
aide de 150 euros pour les colloques est parfaitement raisonnable, non
seulement parce qu'elle permet de conserver un fonds pour l'ensemble des
collègues, mais aussi parce qu'il n'y a, vu les moyens dont on dispose, pas la
possibilité de couvrir entièrement les frais engagés lors d'un déplacement. Un
centre peut, lors de circonstances exceptionnelles, consentir une aide plus
importante. Cela a d'ailleurs été fait par les Etudes Ecossaises en son temps
pour l'un des signataires, bien que ses préoccupations soient bien éloignées du
domaine concerné. Je ne doute pas que cela n'a pas été oublié. J'ajouterai que
j'appartiens à une génération qui n'a bénéficié d'aucune aide pour Sa
recherche, ce qui ne m'a pas empêché, sans plus de moyens financiers que les
intéressés, de mener à terme ma thèse d'Etat dans des délais plus rapides que
les leurs.
Il me semble aussi comprendre que les signataires
de la lettre-motion accusent la direction du CEMRA d'un manque de transparence
et d'un déficit de démocratie. Or, un centre de recherches ne se conduit pas à
coup d'assemblées générales dans le style d'un Congres des Verts. Il ne relève
pas davantage du Conseil de l'UFR. Le centre de recherches est
réglementairement sous la responsabilité de son directeur qui a conçu le projet
avec une équipe restreinte et qui a ensuite sollicité la participation d'autres
membres. Et nul n'est obligé de rester membre d'un centre s'il ne s'y sent pas
à l'aise. Chaque plan quadriennal offre la possibilité de proposer d'autres
structures il " suffit " ensuite bien entendu d'obtenir l'agrément de
la Direction de la Recherche....
D'une manière plus générale, je dirai que j'ai
toujours eu une aversion viscérale pour toutes les formes de puritanisme. Pour
cela aussi, nous devrions revendiquer l’ « exception
culturelle ». N'ayant pas l'arrogance d'appartenir aux" Happy
Few" qui s'arrogent le droit de donner des leçons de morale à autrui, mon
esprit de tolérance ne peut tout de même pas accepter qu'on écrive n'importe
quoi. D'où ma réaction.
Je profite de l'occasion pour transmettre toutes
mes amitiés aux nombreux amis du CEMRA et de l'UFR que j'ai laissés à
l'Université Stendhal.
Pierre Morére
DOCUMENT
IV
De :
WhittickS@aol.com
A:varet_eric@yahoo.fr,Jerome.puckica@@u-grenoble3.fr,Stolazzi@dial.oleane.com,Angeline.Durand@u-grenoble3.fr,Bertrand.Koszial@wanadoo.fr,WhittickP@aol.com,Susan.Blattes@u-
grenoble3.fr,Susan.Blattes@wnadoo.fr,DenisBoncasse@@u-grenoble3.fr,Frederick.Dumas@u-
grenoble3.fr,Helen.Palma@u-grenoble3.fr,Linda.Carter@u-grenoble3.fr,Vicki.Briault@u-
grenoble3.fr,Christine.Vandamme@u-grenoble3.fr,Eriv.Tabuteau@u-
grenoble3.fr,James.Undrehill@u-grenoble3.fr,Mohamed.Benrabah@u-
grenoble3.fr,n.Bebrabah@u-grenoble3.fr,Marion.Amblard@wanadoo.fr,Bertrand.Koszul@u-grenoble3.fr,Donna.Andreolle@u-grenoble3.fr,
madhu.benoit@u-grenoble3.fr,susab.berthier@wanadoo.fr,PChezaud@aol.com,Helene.Greven@free.fr,ShIssani@aol.com,Shaeda.Usai@u-grenoble3.fr,veronique.molinari@libertysurf,fr,
pierrr.rnoreir®wamadoo.fr, Emily.Corvisy@u-grenoble3.fr,Marie-Pierre.Jounnaud@u-grenoble3.fr,Catherine.Kamowski@u-grenoble3.fr,Jean-Pierre.Simard@u-grenoble3.fr,Frederic.Dumas@wanadoo.fr,Monique.Caravel@u-grenoble3.fr
Date
02/03/2005 00:40
Objets: Réflexions sur la représentation
---------------------------------------------------
Chers Collègues,
Estimant que nous n'avons pas à nous défendre
contre les insultes personnelles proférées par Pierre Morère, nous vous
invitons simplement à relire notre lettre du 21 février (à ce jour, Je seul et
unique courrier que nous avons adressé à Patrick Chézaud sur la question du
bilan financier du CEMRA). Et ce pour constater le décalage entre une demande
de bilan et la violence verbale démesurée du message de notre collègue retraité
diffusé vendredi dernier en guise de réponse.
Ceci dit, pour une équipe de chercheurs qui
travaille sur la représentation - et, plus particulièrement cette année, sur la
représentation de la différence - le
texte Morère mérite d'être étudié, car il constitue un bel exemple de la
méthode à suivre pour diaboliser l'Autre (en passant naturellement par
l'incitation à la xénophobie).
1. On présente une image d'Epinale où les Méchants
(facilement identifiables par le ton doucereux, prêchi-prêcha,
arrogant et puritain de leur discours) sont opposés au Bon (doté de toutes les
qualités d'un chef - honnêteté, sérénité et compétence).
2. Une fois cette opposition binaire établie, on
insinue que les Méchants n'ont pas leur place chez des gens comme Nous ("
Nul n'est obligé de rester membre d'un centre s'il ne s'y sent pas à l'aise....
3. On procède, alors, à enfoncer le clou en
rappelant qu'après tout ce sont tous des étrangers (pardi!) et, qu'à ce titre,
ils ne peuvent évidemment pas avoir les mêmes valeurs que Nous. C Pour cela
aussi, nous devrions revendiquer 'l'exception culturelle'").
4. Et les voilà, ces parias (‘honnis’),
voués à l'exclusion du centre uni et chaleureux auquel, selon cette vision
manichéenne du monde, seuls les Bons et les amis des Bons appartiennent. (« Je
profite de l'occasion pour transmettre toutes mes amitiés aux nombreux amis du
CEMRA etc. ».
Il n'échappera sans doute à personne que la
diatribe de notre ancien collègue remplit, en fait, d'autres fonctions
importantes. D'un côté, elle n'est rien d'autre que la leçon de morale que son
auteur prétend ne pas être assez arrogant pour donner à autrui. D'autre part,
en s'acharnant à salir ceux perçus comme adversaires, Pierre Morère fournit un
avertissement, on ne peut plus clair, de l'anathème auquel s'expose tout membre
du CEMRA qui oserait commettre le crime de poser à son directeur des questions
jugées par l'ex-adjoint fidèle de ce dernier comme impertinentes.
Une dernière remarque il faut savoir que le texte
édifiant de Pierre Morère a d1abord été soumis à l'inspection de
Patrick Chézaud qui a donné son accord pour sa diffusion.
Dans l'espoir que la stratégie discursive qui a Si
bien réussie auprès des électeurs de George Bush n aura pas le même impact sur
des universitaires sensibilisés au jeu (et aux enjeux) de la ‘misrepresentation’,
nous vous assurons, chers collègues, de nos salutations les plus cordiales.
Sheila
Collingwood-Whittick
Vicki
Briault-Manus
Mohamed Benrabah
DOCUMENT
V
Centre d'Etudes sur les
Modes de la Représentation Anglophone
(EA
3016)
UFR
d'Etudes anglophones
Université
Stendhal - Grenoble III
Saint
Martin d'Hères, mardi 16 novembre
2004
Patrick
CHEZAUD
Directeur
du CEMRA-EA 3016
(Centre
d'Etudes sur les modes
de la Représentation Anglophone)
Président
de l'Université Stendhal
à
Monsieur
Gérard Monfort
Editeur
Saint
Pierre de Salerne
BP 20
27800
BRIONNE
Cher Monsieur Monfort,
Vous trouverez, joints au présent courrier, le bon
de commande relatif à l'édition du livre « Louis Rousselet et l'image de la
culture de l'Autre » ainsi que la photocopie du contrat d'édition.
Les planches manquantes (17 à 22) feront l'objet
d'un très prochain envoi.
Avec mes amitiés
Patrick CHEZAUD
UFR d'Etudes
anglophones - Université Stendhal - Grenoble 3
Domaine
Universitaire - 1180 Avenue Centrale - BP 25-38040 Grenoble cedex 9
Tel m
04 76 82 68 17 Fax : 04 76 82 41 21
Directeur:
Patrick Chézaud - chezaud aol.com
DOCUMENT
VI
UNIVERSITE STENOHAL GRENOBLE 3
1180 Avenue CENTRALE
DOMAINE UNIVERSITAIRE
38040 GRENOBLE
TVA IC : F85193818408
BON DE COMMANDE ORIGINAL
Page : 1
S.A.R.L.
EDITIONS GERARD MONFORT
BP 20
27800 BRIONNE
Commande : 2004
903 0000119
U.B : 903
UFR ETUDES ANGLOPHON
C.R. : 3403
CEMU
Référence : Agnes VERE
Fournisseur : 0005180 S.A.R.L. EDITION GERARD
MONFORT
Delai global de paiement : 45 jours Taux interets
moratoires : TIL
Objet
de la commande
Edition
de 1' ouvrage intitulé
« Louis
Rousselet et 1'images de la culture de l’Autre »
en 300 exemplaires
Montant
H.T : 2
230.85 euros Numéro(s)
engagement :
0000225
Montant
H.T remise : 0.00 euros (Remise globale de 0.00%) Dest.
: CQUAD
Montant
Net : 2
230.85 euros Rubr. : 6237
Montant
T.V.A : 0.00
euros (Taux 0.00%) Compte
bugétaire : 6237
Montant
T.T.C : 2
230.85 euros
Facturation
à : Presentation à :
CEMRA CEMRA
1180
Avenue CENTRALE 1180
Avenue CENTRALE
DOMAINE
UNIVERSITAIRE BP 25 DOMAINE
UNIVERSITAIRE BP 25
38040
GRENOBLE Cedex 9 38040 GRENOBLE
Cedex 9
Pers.
à contacter : PATRICK CHEZAUD/AGNES VERE Pers. à
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Coupon à renvoyer
Commande : 2004 903
0000119
C.R. : 3403
Référence : Agnes VERE
Fournisseur : 0005180
Le : 16/11/2004
Président Stendhal
Patrick
CHEZAUD